Actualités autour du Team Building

Collaborateur : ce nouveau super-héros ordinaire qui crée l’événement


Super-héros : une attitude, un état d’esprit, des super-pouvoirs

Si le personnage de super-héros reste une valeur sûre pour les managers qui souhaitent célébrer leurs victoires lors d’un séminaire, c’est avant tout un personnage de tous les fantasmes qui correspond parfaitement à la dynamique d’une force de vente.

L’invincibilité, la séduction, l’argent, la vitesse, la force, la beauté et enfin la compétition entre le pouvoir officiel (le manager, la direction générale) et le super-héros (le collaborateur ordinaire) compte parmi les ingrédients les plus courus dans le quotidien d’un commercial.

En reprenant cette image du super-collaborateur dans le cadre d’une convention, le manager ne fait qu’attiser un feu déjà soutenu, qui ne demande qu’à grandir. Mais depuis quelques temps, les valeurs de bienveillances sont énoncées avant les résultats obtenus : une révolution !

 

La révolution numérique mais avant elle, la révolution éthique

Un peu comme dans les histoires que l’on voit au cinéma, que ce soit Batman, Spiderman, Superwoman ou Superman, tous ont une éthique qui est mise en avant pour servir une « morale » qui parlera à l’inconscient du spectateur.

Tu aideras ton prochain, tu ne trahiras pas… qui est l’éternel refrain de ces intrigues… « oui, bien sûr ! » vous répondra ironiquement un jeune cadre, fan des héros de MARVEL. Alors que le « savoir vivre ensemble » et le « comment travailler en équipe » résonnent beaucoup plus pour lui comme une évidence.

Super-héros : un poste où on est bien seul face aux tâches qui vous attendent malgré vos super-pouvoirs. Equipe de collaborateurs ordinaires aux multiples talents et compétences : une définition sans doute plus réaliste qui parle avec sincérité aux équipes.

 

Sortir de l’air des effets spéciaux pour retrouver le néo-réalisme RH

A l’opposé du cinéma « grand public » qui tend vers moins de scénario et d’avantage de travail de l’image, les entreprises s’intéressent de plus en plus au sens à donner aux choses et au potentiel des collaborateurs qui constituent l’essentiel de leurs troupes.

Les grands cinéastes italiens comme Rosselini, Visconti, De Sica, se libéraient en leur temps des règles des studios, en faisant jouer les gens de la rue et en réalisant leurs films en décors naturels. Comme eux, les managers d’aujourd’hui cherchent d’avantage d’authenticité dans les relations qu’ils ont avec leurs équipes, dans les façons qu’ils ont de travailler, de se réunir.

Parmi les grands changements qui constituent l’actualité des Ateliers du court-métrage, il y a la forme et le contenu des team building, ces rendez-vous qui permettent à tous les cadres de renouer ou de maintenir le contact avec leurs équipes.

 

Faire ensemble, longtemps, en faisant appel à l’instinct de chacun

C’est certainement le point commun entre l’homme ordinaire et le super-héros, entre l’animal et l’humain. Et le cinéma, au delà de ses grandes règles de prise de vue, de mise en scène, de jeu d’acteur, d’écriture de scénario est un des rares métiers qui met en lumière chaque année, de nouveaux talents qui ne sont jamais passés par une école.

Un atelier cinéma ou un atelier vidéo, tel qu’il est conçu par Les ateliers du court-métrage, est un team building qui agit avant toute chose sur l’instinct du groupe. Sentir le lien qui rassemble l’équipe avant la prise, comprendre ensemble une difficulté de mise en scène, soutenir celui ou celle qui se lancera dans le jeu d’un personnage.

Ce travail qui interroge une autre intelligence que celle qu’il faut entendre sur tous les plateaux TV contribue à générer d’autres valeurs. Sans doute ces valeurs qu’on reconnait aux super-héros lorsqu’ils sont mis à mal, lorsqu’ils deviennent vulnérables. On appelle ce moment le Climax au cinéma. Sans doute le moment le plus intéressant du film car c’est à celui-ci qu’on repense longtemps, c’est celui qui dure dans le temps.