Actualités autour du Team Building

Soyez-vous même ! Une injonction que l’on retrouve souvent en animation vidéo


Est-ce qu’une équipe peut garder sa spontanéité, sa complicité, lorsqu’elle pratique un team building vidéo ?

Le rapport à l’image n’est pas le même pour chacun d’entre nous et pour les managers qui sont souvent en visio-conférence ou sur scène en tant qu’orateur, un atelier d’improvisation devant une caméra représente un jeu très fédérateur pour une équipe.

Les programmes courts de canal, les fausses pubs, les clips musicaux, nombreuses sont les animations vidéo qui se prétendent d’excellents team building et par voie de conséquence, des supports de cohésion d’équipe efficace.

Pourtant, l’image peut être une source de stress importante lorsqu’elle est employée dans un contexte de pure improvisation.

 

 

Le groupe et l’individu ne sont pas les mêmes acteurs devant la caméra

En tant que spécialiste du team building vidéo et des animations cinéma, les ateliers du court métrage conseillent systématiquement ses clients sur la forme de l’atelier qui correspondra le mieux à son équipe.

Notamment lorsque le manager a émis le souhait de faire réaliser à ses collaborateurs des sketchs télévisuels dans lesquels la prise de son est aussi importante que la prise de vue.

2 hypothèses sont alors envisagées du point de vue de soi l’animation : apprendre un texte qu’il faudra interpréter comme un acteur devant une caméra et ses collaborateurs. Improviser un personnage et son discours dans les mêmes conditions que celles d’un plateau de tournage.

Lorsque vous êtes quelqu’un de réservé et que vous travaillez au service comptable depuis une vingtaine d’année par exemple, il est assez facile d’imaginer à quel point ce type d’exercice vous semble difficile, voire intrusif.

 

 

La pratique de l’image vidéo : ce doit être pour le plaisir de jouer un personnage ou de découvrir la prise de vue.

Être soi-même lors d’un team building vidéo c’est la première clé que nous transmettons à nos clients pour la réussite de leurs événements.

Une réussite qui doit concerner l’ensemble des participants, quel que soit son métier, sa personnalité. Pour y parvenir, nous mettons un point d’honneur à ce que le film réalisé fasse sens commun.

Ensuite nous définissons un cadre d’intervention suffisamment instinctif et précis pour que la grande majorité des collaborateurs puissent s’en emparer facilement.

Nul besoin alors d’être un ingénieur commercial charismatique pour devenir le personnage principal du film. Toutes les personnalités, toutes les nationalités, tous les sexes sont autant de différences qui donneront sa richesse au film.

 

 

La prise de son conditionne-t-elle le type de public, le type d’atelier ?

Oui, cet aspect de la technique audiovisuelle doit faire partie des réflexions à mener avant d’engager son équipe dans un team building.

Lorsqu’on doit interpréter un personnage qui a des dialogues à dire devant une caméra, on perd souvent sa spontanéité, son naturel.
Simplement par manque de pratique et non pas par incompétence ou par manque de talent.

Certains sont plus a même de tenir un rôle sans apprentissage préalable au métier de comédien mais ça n’est pas la majorité des participants à un team building vidéo, bien au contraire.

Alors, compte tenu du temps dont nous disposons pour qu’une équipe réalise un film (3h00 en moyenne) nous préconisons que l’atelier soit construit de tel façon que la fabrication des images se fasse indépendamment de la fabrication du son.

 

 

Et c’est le cas avec la plupart de nos team building vidéo :

CINEPUB50TH la réclame des années 50, les participants enregistrent le son en post – synchronisation

CINESPIRIT l’atelier cinéma le plus libre, utilisant simplement un fond vert en décor naturel : Le son est pris sur le moment mais en mode post syncho également.